Équestre de guerre. Le cavalier, monté sur un cheval galopant vers la droite, vêtu d’un haubert recouvert d’une cotte d’armes, la tête protégée par un heaume cylindrique à timbre plat cimé d’un plumail, brandit une épée de la main droite et un bouclier, présenté de profil, de la main gauche, dont la guiche est passée autour de son cou. Le cheval est recouvert d’une housse fendue. La cotte, le bouclier et la housse sont chargés d’un créquier (Vignory). Le cimier et les jambes du cheval mordent sur l’exergue. L’appendice de préhension est caractéristique d’une matrice plate.
Entre un grènetis et un grènetis doublé d'un filet
Coulon mentionne une troisième empreinte dont il ne donne pas de cote d'acte : elle est de cire verte sur écheveau de soie pourpre, appendue à un acte d'achat de divers droits par les religieux de Clairvaux à Avrecourt, daté de novembre 1246. L'empreinte est brisée et incomplète mais permet d'estimer la date des autres empreintes connues
Coulon mentionne également l'empreinte issue de la collection Lorraine