Équestre à l'épée, bassinet à visière relevée, orné d'un volet court, cimé d'une fleur de lis ; la bouclier est armorié (écartelé aux 1 et 4 de France à la bordure componée, aux 2 et 3 de Bourgogne ancien, avec sur le tout, Flandre). Le pourpoint aux armes se termine par de longues manches flottantes à bords découpés (seul le bras droit est apparent). Le cheval est recouvert d'une housse aux armes ducales inversées, la tête du cheval est protégée par un chanfrein métallique. Les écus de Namur, de Bourgogne-Comté, et d'Artois sont disposés à gauche, dans le champ, sous le bras droit du cavalier ; branches fleuries dans la partie inférieure et au-dessus des pattes antérieures ; la bordure est faite d'un cordon de fleurs de lis. Un briquet est disposé sous la main droite du cavalier et devant les antérieurs de sa monture (Laurent, 1993, page 600).
Les matrices de ce grand sceau et de son contre sceaux ont été gravées par l'orfèvre bruxellois Jean de Heylen (Laurent, 1993, p. 603).